Voilà ce que dit Werther: "Aber ich hab sie gehabt, ich habe das Herz gefühlt, die große Seele, in deren Gegenwart ich mir schien mehr zu sein als ich war, weil ich alles war was ich sein konnte."
Comme j´aimerais pouvoir dire la même chose un jour...
En attendant d´aimer, je me disais que je pouvais semer. Qu´au moins on sème! J´adore ce jeu de mot que je dois attribuer à l´artiste Déborah Chock. J´avais acheté la carte postale à Paris, je ne me rappelle plus exactement quand. Elle est aujourd´hui accrochée à côté de ma glace.
Allez, il faut bien commencer par écrire quelque chose. Je décris donc ce qui juste à l´instant me fait plaisir: mon voisin du dessus joue du piano. Je suis la seule dans mon appart qui semble apprécier, j´ai l´impression d´avoir une bande son à moi lorsqu´il se met à jouer! Je ne crois pas qu´il joue très bien, parfois il s´emballe et avale des notes. Plusieurs morceaux me sont familier, je reviens en arrière, à la maison chez moi en Allemagne, quand ma mère ou ma soeur jouaient du piano. Du coup je me sens à l´aise. Un jour, une de mes colocs a entamé une conversation à ce sujet dans l´ascenseur. Le hasard a voulu qu´elle tombe sur la mère du pianiste. A ce qu´il parait, les parents sont désespérés parce que plusieurs voisins dans l´immeuble se sont plaints. Eux-même ne supportent que difficilement l´engouement musical de leur fils. Je ne suis pas d´accord du tout, continue mon petit!!
No comments:
Post a Comment