Dieser Donnerstagmorgen fühlt sich nicht sehr gut an. Das erste Mal fällt es mir schwer, Paris zu verlassen. Obwohl die Stadt heute wieder in ein feuchtes Grau getaucht ist. Den Frühling über sind wohl doch ein paar Wurzeln gewachsen, die mich sanft aber bestimmt an diese Stadt binden. Nach und nach habe ich die Stadt bildlich vor Augen, arrondissement um arrondissement, Metrostation um Metrostation...
Le blues du voyage, je l'ai à chaque fois - les changements de lieu teintent mon humeur et même si j'ai envie de partir, je sous-estime ces petites racines dont je parlais qui poussent autour de moi, je les visualise, j'aime me sentir proche d'un endroit, appartenir à un lieu, le connaître, le découvrir, le percer...
Cette nausée des matins de voyage me tiraille les entrailles.
J'ai hâte de retrouver Paris en juillet.
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