... la vérité sur mon départ au Havre samedi, c'est que je prends des mesures préventives face à l'ouverture du Salon du Chocolat. Je préfère évacuer le lieu de tous les risques (et plaisirs aaah) et partir loin, je ne me sens pas prête à affronter tant de tentations.
Et puis il y a toujours la cuisine de Mamy...
Thursday, October 28, 2010
Wednesday, October 27, 2010
how to ruin your sunday
Recette imparable pour Déprime Dominicale:
- Visiter le Mémorial de la Shoah, incontournable surtout quand il pleut, quoi de plus agréable que les bons souvenirs. A faire en matinée si possible. Seule.
- Bien choisir sa lecture: lire Sylvia Plath et tout spécialement insister sur la deuxième moitié de The Bell Jar, ça respire la joie de vivre.
- Absolument prendre le métro, essayer de choper la ligne 4 à l'heure de pointe, la chaleur humaine il y a que ça de vrai.
- Aller voir un film joyeux comme Biutiful avec Javier Bardem, ça donne envie de mettre des enfants au monde pour qu'ils puissent voir comme c'est biutiful la life sur notre planète et comme tout n'est que justice, bonheur et fraternité ici-bas.
- Avant de voir le film, bien s'imprégner des bandes-annonces de La Venus Noire et puis aussi de Des filles en noir (qu'on prévoit d'aller voir respectivement le dimanche prochain et celui d'après pour faire durer le plaisir).
- S'attarder à la station de métro Barbès-Rochechouart pour humer l'air frais, parce que c'est sympa de causer avec les mecs qui vous proposent généreusement de la bonne marchandise à prix d'ami et qui aussi vous font des propositions de mariage, c'est vachement flatteur.
La recette marche, je l'ai testé le weekend dernier avec un franc succès.
Je me demande encore comment je me suis débrouillée...
- Visiter le Mémorial de la Shoah, incontournable surtout quand il pleut, quoi de plus agréable que les bons souvenirs. A faire en matinée si possible. Seule.
- Bien choisir sa lecture: lire Sylvia Plath et tout spécialement insister sur la deuxième moitié de The Bell Jar, ça respire la joie de vivre.
- Absolument prendre le métro, essayer de choper la ligne 4 à l'heure de pointe, la chaleur humaine il y a que ça de vrai.
- Aller voir un film joyeux comme Biutiful avec Javier Bardem, ça donne envie de mettre des enfants au monde pour qu'ils puissent voir comme c'est biutiful la life sur notre planète et comme tout n'est que justice, bonheur et fraternité ici-bas.
- Avant de voir le film, bien s'imprégner des bandes-annonces de La Venus Noire et puis aussi de Des filles en noir (qu'on prévoit d'aller voir respectivement le dimanche prochain et celui d'après pour faire durer le plaisir).
- S'attarder à la station de métro Barbès-Rochechouart pour humer l'air frais, parce que c'est sympa de causer avec les mecs qui vous proposent généreusement de la bonne marchandise à prix d'ami et qui aussi vous font des propositions de mariage, c'est vachement flatteur.
La recette marche, je l'ai testé le weekend dernier avec un franc succès.
Je me demande encore comment je me suis débrouillée...
Pfff
Nach einer Tasse "Freu Dich" und einer zweiten Tasse "Atme Dich frei" (wir lieben deutsche Teesorten) bin ich weder sonderlich erfreut noch huste ich weniger... Aber den thé vert à la menthe kann ich nicht mehr sehen riechen trinken. Und irgendwie muss man sich ja warm halten.
Heute ist Mittwoch. Ich hangele mich an den Wochentagen entlang, träge, bis zu den Wochenenden. Ich fühle mich wie ein schlecht aufgepumpter Reifen, wenn ich nicht aufpasse habe ich bald einen Platten. Pffffffffffiou irgendwie scheint die Luft draussen zu sein.
Zum Glück fahre ich nach Le Havre am Samstag, ich muss raus aus dieser Stadt.
Heute ist Mittwoch. Ich hangele mich an den Wochentagen entlang, träge, bis zu den Wochenenden. Ich fühle mich wie ein schlecht aufgepumpter Reifen, wenn ich nicht aufpasse habe ich bald einen Platten. Pffffffffffiou irgendwie scheint die Luft draussen zu sein.
Zum Glück fahre ich nach Le Havre am Samstag, ich muss raus aus dieser Stadt.
Sunday, October 24, 2010
Saturday, October 23, 2010
le loup
Il avait décidé de suivre l'école des loups, où la fin d'une étreinte n'empêchait pas d'avoir encore faim. Une faim de loup, comme la sienne. Où on ne voulait pas déchanter. Où on ne voulait pas avoir froid. Où on avait du mal à comprendre pourquoi certaines choses changeaient. Où on voulait continuer à courir et à croquer. Où on rêvait alors d'un pelage épais que rien n'arriverait à franchir. Et d'un endroit où il faisait chaud où le choses étaient simples et les caresses tendres.
Friday, October 22, 2010
fine (ou pas)
Semaine finie. Plus envie de fonctionner, je veux végéter, comme une plante (grasse). Mais pas trop grasse, je ne veux pas finir grosse, angoisse. C'est bien pour ça que je viens de mettre toutes les chances de mon côté en mangeant deux tartines toastées recouvertes d'une demie plaquette de beurre et de la moitié d'un pot de Bonne Maman à la fraise. Parfaitement logique, pas de doute. Pour rester logique, ma matinée demain sera grasse aussi, tellement grasse, une bombe calorique de matinée, je vous raconte pas.
Je crois que je débloque un peu, je vais vite vite arrêter d'écrire. Je me donne deux heures pour retrouver mon état normal (je ne sais pas ce que ça veut dire) avant de sortir pour entamer le weekend.
Envie de danser.
Je crois que je débloque un peu, je vais vite vite arrêter d'écrire. Je me donne deux heures pour retrouver mon état normal (je ne sais pas ce que ça veut dire) avant de sortir pour entamer le weekend.
Envie de danser.
black and white horse
Zebra, Beach House. Plunge in.
Feeling good. In a story, in a storm, sad and sweet, mostly sweet...
Pronto pronto c'est le weekend, heures d'attente du vendredi, elles ne sont pas désagréables, on se sent bien dans son quotidien quand on sait qu'on lui échappera dans quelques heures...
Feeling good. In a story, in a storm, sad and sweet, mostly sweet...
Pronto pronto c'est le weekend, heures d'attente du vendredi, elles ne sont pas désagréables, on se sent bien dans son quotidien quand on sait qu'on lui échappera dans quelques heures...
Thursday, October 21, 2010
word of the day
ninjection - an injection for ninjas (or any person who is particularly strong and difficult to anaesthetise)
(and yes, I had to look up the spelling of 'anaesthetise')
(and yes, I had to look up the spelling of 'anaesthetise')
readings
J'ai terminé ma ballade avec Ernest (lire Hemingway, c'est comme faire une promenade avec un très bon ami), je crois bien que c'est le premier livre que j'ai lu entièrement dans le métro... Le format idéal, un livre pas trop lourd, des chapitres pas trop longs, une lecture agréable, on s'y plonge sans effort. C'est drôle de constater à quel point Hemingway à l'air d'avoir été un écrivain sain. Bon, il boit du vin à longueur de journée, mais il travaille, avec rigueur, l'écriture est chez lui tout sauf un passe-temps de dépressif égocentrique et complaisant. La phrase "I had work to do" revient sans arrêt dans ce livre, jamais il ne délaisse ses mots et ses histoires.
Je passe à The Bell Jar de Sylvia Plath, livre qui bat le record de présence sur ma liste "à lire", au moins 2 ans que ce titre y figure. Là ce n'est pas vraiment pareil, dans le genre dépressif, on a rarement mieux fait (je pense surtout à ses poèmes). Les écrivaines suicidaires sont fascinantes pourtant... En tout cas elle pose les bonnes questions, pas de mélancolie plombante, juste une manière très réaliste de s'interroger sur le sens de la vie...
Je passe à The Bell Jar de Sylvia Plath, livre qui bat le record de présence sur ma liste "à lire", au moins 2 ans que ce titre y figure. Là ce n'est pas vraiment pareil, dans le genre dépressif, on a rarement mieux fait (je pense surtout à ses poèmes). Les écrivaines suicidaires sont fascinantes pourtant... En tout cas elle pose les bonnes questions, pas de mélancolie plombante, juste une manière très réaliste de s'interroger sur le sens de la vie...
Wednesday, October 20, 2010
vago
C'est bon parfois de ne penser à rien...
Juste noter que les gobelets de la machine à café sont riquiqui et qu'elle (la machine) pourrait proposer des volumes plus adaptés aux températures en dessous de 10° et aux sensations de grande fatigue en semaine.
Se féliciter d'avoir mis fin sur un coup de tête au boycott systématique de toutes les variantes du crumble aux pommes, parce que finalement poire-chocolat peut s'avérer être très bon aussi.
Et s'imaginer que derrière la prochaine porte que l'on ouvre se trouve un lit géant (la salle sur demande de Harry Potter, vous voyez le concept).
Juste noter que les gobelets de la machine à café sont riquiqui et qu'elle (la machine) pourrait proposer des volumes plus adaptés aux températures en dessous de 10° et aux sensations de grande fatigue en semaine.
Se féliciter d'avoir mis fin sur un coup de tête au boycott systématique de toutes les variantes du crumble aux pommes, parce que finalement poire-chocolat peut s'avérer être très bon aussi.
Et s'imaginer que derrière la prochaine porte que l'on ouvre se trouve un lit géant (la salle sur demande de Harry Potter, vous voyez le concept).
Monday, October 18, 2010
Saturday, October 16, 2010
flemme
La machine à laver ronronne, le marché est fait, des fruits dans la grande assiette sur la table, à côté quelques pièces de monnaie, un tas de linge déjà sec à repasser sur le canapé d'en face, on dirait une sorte de nature morte, une fine couche de poussière (se) repose sous la commode, la lumière change, dehors des nuages passent.
Pleins de choses que j'ai envie de faire, pourtant le canapé du salon exerce une telle attraction sur moi en ce début de samedi après-midi que je ne sais plus si je vais affronter métro, boutiques et compagnie... Ou opter pour faire le chat et rêver, calée entre les coussins, de choses dont je ne parlerais pas. Etat transitoire, dans le coton, comme dans un cocon.
Je voulais enfin aller faire réparer mon vélo...
Je voulais aller m'acheter des bottes...et un pull...et des boucles d'oreilles...
Pleins de choses que j'ai envie de faire, pourtant le canapé du salon exerce une telle attraction sur moi en ce début de samedi après-midi que je ne sais plus si je vais affronter métro, boutiques et compagnie... Ou opter pour faire le chat et rêver, calée entre les coussins, de choses dont je ne parlerais pas. Etat transitoire, dans le coton, comme dans un cocon.
Je voulais enfin aller faire réparer mon vélo...
Je voulais aller m'acheter des bottes...et un pull...et des boucles d'oreilles...
Thursday, October 14, 2010
qmsdfhksjkqdcui
Ich bin sehr schlecht im Warten. Ungeduld ist mein zweiter Vorname.
Wenn man nichts tun kann ist Ungeduld schon schlimm genug. Wenn man etwas tun könnte, aber es sich verbietet (aus Stolz zum Beispiel), dann ist das noch schlimmer.
Und wenn man dann auch noch so wenig zu tun hat und Zeit hat, sich darüber auf einem Blog auszulassen, dann ist das noch noch schlimmer.
Ich überreiche mir hiermit selbst, heute, Donnerstag den 14 Oktober, die Palme de l'Impatience.
Wenn man nichts tun kann ist Ungeduld schon schlimm genug. Wenn man etwas tun könnte, aber es sich verbietet (aus Stolz zum Beispiel), dann ist das noch schlimmer.
Und wenn man dann auch noch so wenig zu tun hat und Zeit hat, sich darüber auf einem Blog auszulassen, dann ist das noch noch schlimmer.
Ich überreiche mir hiermit selbst, heute, Donnerstag den 14 Oktober, die Palme de l'Impatience.
Tuesday, October 12, 2010
on paris
"But Paris was a very old city and we were young and nothing was simple there, not even poverty, nor sudden money, nor the moonlight, nor right and wrong nor the breathing of someone who lay beside you in the moonlight."
Ernest Hemingway, A Moveable Feast
Ernest Hemingway, A Moveable Feast
Monday, October 11, 2010
entre nous
Entre nous, ce n'est pas facile, les entre-deux.
Réflexe de freiner. Rêve de foncer. Résultat, on fronce.
- ça ronge.
Je veux être entière.
Réflexe de freiner. Rêve de foncer. Résultat, on fronce.
- ça ronge.
Je veux être entière.
mehr
Plastikblau, Swimmingpoolblau, Leuchtblau ist der Himmel seit 3 Tagen schon und das fühlt sich langsam unnatürlich an. Ich muss an die Käptn Blaubär Geschichte denken, die mit dem Wolkenstaubsauger... Vielleicht ist so etwas ähnliches passiert, nicht ein Wölkchen ist zu sehen!
Nach einem Wochenende in den pariser Strassen und Parks sitze ich wieder vor dem Bildschirm, schaue aus dem Fenster und kann mir Posts wie diesen nicht verkneifen. Der Himmel ist immer gut für ein paar Worte.
***
Warum will ich immer mehr? Wie Karlsson vom Dach "meeehr meeehr meeehr" als er seine Medizin bzw. Bonbonpüree löffelt und knallrote Lippen hat. Gut gehts mir und doch will ich mehr von diesem Gefühl... Ich fühle mich wie ein Vampir, Blut geleckt, schwer zu stoppen. Es fühlt sich zu gut an.
***
Je veux aller me balader à travers les vignes et manger un Zwiebelkuchen...
Je vais aller voir si je trouve une recette de tarte à l'oignon...
Nach einem Wochenende in den pariser Strassen und Parks sitze ich wieder vor dem Bildschirm, schaue aus dem Fenster und kann mir Posts wie diesen nicht verkneifen. Der Himmel ist immer gut für ein paar Worte.
***
Warum will ich immer mehr? Wie Karlsson vom Dach "meeehr meeehr meeehr" als er seine Medizin bzw. Bonbonpüree löffelt und knallrote Lippen hat. Gut gehts mir und doch will ich mehr von diesem Gefühl... Ich fühle mich wie ein Vampir, Blut geleckt, schwer zu stoppen. Es fühlt sich zu gut an.
***
Je veux aller me balader à travers les vignes et manger un Zwiebelkuchen...
Je vais aller voir si je trouve une recette de tarte à l'oignon...
Saturday, October 9, 2010
veranillo de san miguel
Aujourd'hui au jardin du Luxembourg,
seul un tas de feuilles mortes en plein milieu de la promenade
laisse paraître que nous sommes en automne,
un automne réduit par l'été triomphant
en un tas de feuilles mortes en plein milieu de la promenade,
aujourd'hui au jardin du Luxembourg.
Des gens qui affluent de toutes les entrées, se précipitent sur les chaises, guettent les fauteuils et absorbent les rayons de soleil comme des lézards. Certains en mini short, d'autres en collant, bottes et écharpe... touristes et Parisiens confondus.
Quoi de mieux qu'un coup de soleil sur le bras droit en octobre?
Cette période de l'année s'appelle "veranillo de san miguel", m'a expliqué mon amie, quand après le début de l'automne l'été revient pour une semaine avant de ne laisser place une fois pour toute au temps plus froid.
seul un tas de feuilles mortes en plein milieu de la promenade
laisse paraître que nous sommes en automne,
un automne réduit par l'été triomphant
en un tas de feuilles mortes en plein milieu de la promenade,
aujourd'hui au jardin du Luxembourg.
Des gens qui affluent de toutes les entrées, se précipitent sur les chaises, guettent les fauteuils et absorbent les rayons de soleil comme des lézards. Certains en mini short, d'autres en collant, bottes et écharpe... touristes et Parisiens confondus.
Quoi de mieux qu'un coup de soleil sur le bras droit en octobre?
Cette période de l'année s'appelle "veranillo de san miguel", m'a expliqué mon amie, quand après le début de l'automne l'été revient pour une semaine avant de ne laisser place une fois pour toute au temps plus froid.
thanks, vino
Ecrire à 01h11, c'est presque comme s'écrire à 11h11 "vite, il faut faire un voeu".
J'aime bien ajouter des chaises (chez nous ce sont des tabourets, détail) autour de la table, quand il y a du monde dans mon monde, quand j'ai des amis chez moi. A chaque fois je me dis que les occasions sont trop rares pour les réunir tous, toutes ces personnes qui me tiennent à coeur, il faudrait que je les fasse tenir autour d'une table plus souvent.
Et aussi je voudrais pour ces soirées un langage universel, un méta-langage, pour que tout le monde puisse converser sans risque de froisser l'autre qui ne parle pas la langue, sans devoir chercher ses mots, pour que chacun puisse parler spontanément, s'exprimer dans la langue qui lui vient naturellement. Parce que non, je n'arrive pas à me contraindre à parler un espèce d'anglais international à longueur de soirée. Parce que la langue dans laquelle on parle est plus qu'un simple moyen d'expression que l'on choisit, c'est tout un mode de pensée qui va avec, changer de langue, c'est changer de ton, d'ambiance, de personnalité... En fait je me rends compte que je n'aime pas faire abstraction de ça, que j'ai du mal à dissocier le contenu du contenant... même pour dire des choses comme "passe moi le pain s'il te plaît", ouhlala.
Avec une coloc allemande, des amis français, une amie espagnole, la coloc allemande ne parlant pas espagnol, les amis français ne parlant pas tous allemand, l'amie espagnole ne parlant ni français ni allemand mais seulement anglais, mon cerveau était en surchauffe!!
Thanks to el vino, tout a gut geklappt on va dire.
Repos.
Buenas noches cher lecteur.
J'aime bien ajouter des chaises (chez nous ce sont des tabourets, détail) autour de la table, quand il y a du monde dans mon monde, quand j'ai des amis chez moi. A chaque fois je me dis que les occasions sont trop rares pour les réunir tous, toutes ces personnes qui me tiennent à coeur, il faudrait que je les fasse tenir autour d'une table plus souvent.
Et aussi je voudrais pour ces soirées un langage universel, un méta-langage, pour que tout le monde puisse converser sans risque de froisser l'autre qui ne parle pas la langue, sans devoir chercher ses mots, pour que chacun puisse parler spontanément, s'exprimer dans la langue qui lui vient naturellement. Parce que non, je n'arrive pas à me contraindre à parler un espèce d'anglais international à longueur de soirée. Parce que la langue dans laquelle on parle est plus qu'un simple moyen d'expression que l'on choisit, c'est tout un mode de pensée qui va avec, changer de langue, c'est changer de ton, d'ambiance, de personnalité... En fait je me rends compte que je n'aime pas faire abstraction de ça, que j'ai du mal à dissocier le contenu du contenant... même pour dire des choses comme "passe moi le pain s'il te plaît", ouhlala.
Avec une coloc allemande, des amis français, une amie espagnole, la coloc allemande ne parlant pas espagnol, les amis français ne parlant pas tous allemand, l'amie espagnole ne parlant ni français ni allemand mais seulement anglais, mon cerveau était en surchauffe!!
Thanks to el vino, tout a gut geklappt on va dire.
Repos.
Buenas noches cher lecteur.
Wednesday, October 6, 2010
Blick aus dem Fenster
Hell grau ist es draussen, kein richtiger Himmel, ein Schleier eher, ein wattiges sich bewegendes Etwas, man hat Lust seine grauen Gedanken darin einzubetten, sie hineinschieben, fort damit, in eine Falte der Wolkendecke, alles eingehüllt, ich eingelullt.
Augen zu und durchhuschen.
Augen zu und durchhuschen.
Monday, October 4, 2010
compensée
abwarting (und auch tee trinking)
Ramollo ramollo le cerveau.
Temps bizarre ni froid ni chaud.
Calme plat --- Vielleicht fällt ja doch was vom Himmel. Ich geh mal schauen. Nein glaub nicht. Hm.
Deux weekends consécutifs passés à Paris, impression d'étouffer, l'envie de partir et de voyager revient au galop. Je me sens enfermée, besoin de voir l'horizon!
Jeudi la visite espagnole de ArgiNe apportera au moins un peu de vent frais. Et du jambon. J'ai hâte qu'elle arrive! Et de remplir les silences de bueno pueeees entonces es queeee jejeje :)
Temps bizarre ni froid ni chaud.
Calme plat --- Vielleicht fällt ja doch was vom Himmel. Ich geh mal schauen. Nein glaub nicht. Hm.
Deux weekends consécutifs passés à Paris, impression d'étouffer, l'envie de partir et de voyager revient au galop. Je me sens enfermée, besoin de voir l'horizon!
Jeudi la visite espagnole de ArgiNe apportera au moins un peu de vent frais. Et du jambon. J'ai hâte qu'elle arrive! Et de remplir les silences de bueno pueeees entonces es queeee jejeje :)
Saturday, October 2, 2010
samedi ça me dit bien
Busy Saturday. Couru à droite à gauche pour barrer des choses de mes listes. Et pour une fois je n'ai pas raté le marché de Barbès - respirer un bon coup avant de pénétrer la foule, se faire bousiller les baskets par les caddies des papys et mamys hauts comme des poneys, passer les stands où on vend du coca light et du boursin (!) comme s'il s'agissait de produits du terroir, remplir les sacs plastiques jaunes pâles, mauves pâles, roses pâles de bananes ("pas cher pas cher"), de figues, de courgettes, repartir à contre-sens en refusant les barres de Marlboro et le lait pour bébé en poudre, c'est cool.
Rendu visite au Village Voice Bookshop rue Princesse. Complètement craqué. 6 nouveaux livres, oh que c'est bon! (oh que c'est pas donné...) J'ai entamé sur le trajet du retour Satori in Paris de Jack Kerouac.
Acheté un nouveau vernis à ongle gris comme les lettres sur mon clavier, c'est plus joli pour taper.
Rendu visite au Village Voice Bookshop rue Princesse. Complètement craqué. 6 nouveaux livres, oh que c'est bon! (oh que c'est pas donné...) J'ai entamé sur le trajet du retour Satori in Paris de Jack Kerouac.
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